
L’association Anona demarrera le projet Limites planétaires à la galerie Kogan. Andrea Vamos proposera une installation et j’animerai un workshop de deux jours. L’objectif du workshop est décrire et de nommer un sentiment lié aux limites planétaires.
« L’exonomie, c’est l’art d’organiser nos relations avec l’extérieur pour satisfaire nos besoins. »
« On peut penser aux vegans. En nous proposant de diminuer et même de stopper notre consommation de produits animaux, on coupe notre dépendance aux animaux et par là même l’oppression qu’on leur fait subir. Sachant que pour consommer de la viande, on utilise une surface de terre plus grande, si on réduit notre consommation de viande, on réduit notre dépendance à un vaste territoire. Et cela engendre aussi moins de lutte. » Nathalie
« On peut imaginer notre relation au territoire de vie comme un fractal. Au centre, il y a une zone connue, où nous avons des notions pour décrire cet espace, il y a des règles, […] puis au fur et à mesure qu’on s’éloigne le fractal se fracture, se disperse, et à un moment il n’y a plus de notion pour décrire notre relation au territoire de vie. » François
Télécharger le compte-rendu-du-workshop-limites-planetaires
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.