
Cet accrochage présente un ensemble de 20 dessins, finalisation du projet de recherche « Une nouvelle économie affective« . Lire la suite
Cet accrochage présente un ensemble de 20 dessins, finalisation du projet de recherche « Une nouvelle économie affective« . Lire la suite
Tous les dessinateurs qui utilisent l’ordinateur ont un jour ressenti cette frustration de ne pouvoir assurer une continuité entre leur savoir-faire, la relation entre le crayon et le papier, le tracé, et leur travail à l’aide des logiciels de dessin sur l’ordinateur. Les techniques d’impression par ordinateur accessibles sont étonnamment fermées et peu nombreuses, imprimante A4 ou A3 avec toutes les limites que l’on connaît, A partir de ce constat, j’ai fabriqué une machine à dessiner, une traceuse numérique. En plus, de reprendre la main sur une production mécanisée d’oeuvres d’art, cette expérience fait aussi entrevoir un autre rapport à la machine, moins basé sur la servilité que sur l’apprentissage, le tâtonnement, la familiarité. En tant que technique d’impression, le plotter permet de réaliser des oeuvres qui peuvent être aussi bien uniques, que multiples.
Lire la suiteL’exposition présente une étape du projet « Une nouvelle économie affective » à Kogan gallery.
L’économie affective représente des manières de vivre simples, économes et exprime les sentiments du vivant et du commun. Valeur des signes, sentiment de sa propre existence, amativité des choses, vie dans la forêt, … Des manières de vivre qui vont à l’encontre d’un monde hyper-technologique, consumériste et pulsionnel et qui sont autant d’expériences pour en penser un autre. Cette culture des milieux est développée à travers 20 concepts, esséité, signifiance, accommodement… ; l’exposition présente des images de ces concepts. Lire la suite
Cela fait à peu près dix années que j’ai quitté l’école des Beaux-Arts de Paris. Dix années bien remplies mais qui me donnent la rage aussi. La rage parce que ces dix années n’ont servi à rien. Lire la suite
L’objectif de cette session hivernale de travail est de réaliser une suite de 20 dessins. Ces dessins sont la représentation de concepts, amativité, exonomie, sensonance,… Lire la suite
Dans le but de produire des images des 20 concepts de l’économie affective, je réalise un cahier de recherche sur les notions de concept, de raisonnement et d’image. Lire la suite
À l’occasion des Portes Ouvertes des ateliers d’artistes de la ville de Montreuil, je participe à l’exposition Savoir/Dessiner. Je présente deux dessins sur les concepts d’enracinement et d’ensourcement et une carte « ensourcement ».
Myriam Ziouche qui travaille à la maison de retraite Korian Monceau me propose d’animer un premier atelier, le 13 septembre, à partir des mots de la nouvelle économie affective. Devant les résidents, dont certains atteints de la maladie d’Alzheimer, je présente le projet puis les différents termes. Pour expérimenter l’usage et la signification de ces termes, nous jouons à deux jeux, jeu de la définition et jeu de la question. Myriam a également animée seule un deuxième atelier.
« Au cours du jeu, pour la définition de «combination», le mot «adjonction» est proposé. Comme ce mot suscite des interrogations, une participante lance le mot «ajoutage» (mot existant, rare, mais immédiatement compréhensible). »
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Le Cabaret Courant Faible propose à des artistes issus du monde des arts visuels et à des théoriciens de créer un court numéro pour la scène. Ce second Cabaret se déroule sous le chapiteau des arts vivants de la Fête de l’Humanité, le 9 septembre 2016. J’y présente le concept d’ensourcement, inventé par les participants du workshop exonomie.
« L’enracinement représente notre attachement à un milieu, un attachement profond et lent un peu comme un arbre qui prend racine. L’ensourcement représente notre lien avec l’extérieur, avec les personnes dont on dépend pour nos ressources vitales, c’est comme l’eau qui irrigue les racines de l’arbre. Ces deux termes sont comme deux directions complémentaires, d’un côté on part de l’arbre et des racines puis on va vers le sol et l’eau, de l’autre, on part de la source pour aller vers le sol et les racines. »
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